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Le IVe corps et les Grenadiers

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Le IVe corps et les Grenadiers Empty Le IVe corps et les Grenadiers

Message  Caran Mar 6 Mar - 4:04

C'est mon premier RP donc j’espère que cela sera plaisant à lire.

Bonne Lecture

23 Aout 1806

Il y a quelque mois, notre Empereur décida de séparer son unique Régiment de Grenadier en 2 Régiments. Le 1er fut assigné à la protection permanente de notre Empereur.

Moi, Caran, je fus muté au 2e Régiment de Grenadier avec des amis mais pour nous tous cette épreuve fut difficile. Mais notre Empereur nous assigna au IVe corps pour protéger la Belgique de l’invasion britannique. Le IVe corps était composé du 45e Régiment d’Infanterie de ligne, du 7e Régiment de Hussard, du 5e Régiment de Voltigeurs et du 9e Régiment d’artillerie. Toutefois ce corps avait reçues le soutien du 84e ,14e Régiment d’infanterie de Ligne. Le tout était commandé par le tout nouveau Maréchal de l’empire et ancien général du IVe Corps, le Maréchal Bastien. Il était secondé par le Tyrannique Kahlan.

Nous sommes à l’Aurore, lorsque les trompettes sonnent. En un instant tous les Grenadiers étaient debout. J’ouvris mon coffre pour enfilé mon uniforme et moins de 2 minutes après je sortis de notre tente. Comme à notre habitude nous allions manger à la table des Officiers.

Une heure plus tard, tout notre régiment était près, il manquer juste moi car je devais inspecter la tente, tel était mon travail en tant que Porte Étendard. En sortant de la tente je senti la douceur de la rosette. Je la voyais sur mes frères d’Armes. Puis notre Sergent Major, Stephane, pris le commandement de la ligne pour nous emmener au front. En effet Stephane nous a dit que notre officier était à l’état-major.

Il était 9h lorsque nous prirent position sur le champ de bataille. Une Belle matinée allé devenir un après-midi de sang.

Le flanc gauche de notre armée allé être tenu par le 14e Régiment et le 5e commandé par le Vénérable Blackhawk le tout dirigé par le Général Kahlan. Le Centre de la Ligne était commandé par le Maréchal Bastien qui s’est appuyé sur le 84e et le 45e Régiment appuyé par le 9e d’Artillerie. Quant au flanc droit il n’y avait aucune troupe ennemie. Le 7e Hussard fut commandé par le colonel Pierre avais était mis en Réserve entre les lignes de Kahlan et de Bastien.

Comme à notre habitude les Grenadiers étaient en Réserve.

A 9h37, les batteries du 9 e commencèrent à tirer sur les Highlanders au centre du champ de Bataille. J’entendis les ordres du Lieutenant Chrono à ces canonniers, malgré le vacarme des canons. Sur le flanc gauche le Major Blackhawk, surnommé la Majorette Turque par ces hommes, dispersa ces hommes pour tirailler le 8e Régiment de la King German Légion. Très vite le Général Kahlan ordonna au colonel Verdieb de soutenir le 5e pour élimé rapidement ce régiment et au bout de quelque salves meurtrières, le Régiment Anglais prit la fuite. Le Général Kahlan ordonna leur poursuite.

Au centre, malgré l’excellent soutien de l’artillerie, le Colonel Aldemar et le Capitaine Molotof était mal mené par les trois Régiment Britannique, si bien qu’il ordonna au Colonel Pierre de charger le centre et sonna la charge des 84e et des 45e Régiment d’Infanterie de Ligne. Cette charge simultanée sonna les glas de l’armée Britannique.

Mais une au moment où la bataille allé être remporté, les troupes qui se replié se retournèrent et se réorganisèrent. En effet des renforts ennemis arrivèrent, deux régiments au centre et deux autres sur le flanc gauche. Toutefois ceci ne représenté que la moitié de l’armée Prussienne, car sur le flanc droite trois régiments d’Infanterie de Ligne et un Régiment de cavalerie se mirent en position de combat.

L’arrivé de ces renforts désempara le Maréchal qui n’eut d’autre choix que de sonner la garde. Nos ordres était simple : tenir le flanc droite coute que coute jusqu’à l’arrivé de renfort ou la fuite de l’ennemie.

A peine les ordres que le Lieutenant Aussenac, récemment promu, avança la ligne et il ordonna aux tambours de joué La Marche de la Vieille Garde pour que nous allions plus vite nous mettre en positions.

En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire le 2e Régiment de Grenadier protéger le centre du champ de bataille des renforts Prussiens. Bien que le Régiment fût assigné au IVe corps, Lorsqu’ils sont sur le champ de bataille ils n’obéissent qu’à l’Empereur en personne et ce n’est pas l’habitude des Grenadiers de rester sur place à attendre l’ennemie.

Les commandants prussiens et britanniques furent abasourdis lorsqu’ils virent le Régiment de Grenadier avancer sur les lignes prussiennes. Malgré les salves simultanés des 3 lignes prussiennes sur les grenadiers, ces derniers continué d’avancé comme si rien ne les gênais.

Le régiment se rapprochement dangereusement de leurs lignes les officier prussiens allaient ordonner la charge mais ils n’eurent pas le temps de prononcer ce mot car ils virent les grenadiers chargé leur lignes car pour eux seuls des fous auraient chargé.

S’en suivit un corps un corps sanglant qui pour les prussiens étaient gagné d’avance ce qui engendra une trop grande confiance en soi. Mais cette charge eut un impact plus négatif sur les soldats.

Alors qu’il se battait à un contre quatre (dus aux pertes précèdent la charge) leur expérience et leur qualité de combattant, individuelle et collectif, surpassé cette infériorité. Tant de fait d’armes eurent lieux dans ce corps à corps qu’il faudrait raconter le combat de chaque grenadier. Le sacrifice de certains de ces membres pour sauver son frère d’arme d’un mort certaine, même sans baïonnette certains réussirent à tuer leur adversaire à coup de points jusqu’à retrouver une arme ou que la mort les prennent.

Mais le plus haut fait fut celui de la protection du drapeaux du 2e protéger par le Lieutenant Aussenac, le Sergent Major Stephane, et les Grenadiers Pokertour, Wellington, Bessières, Khernage, Desaix et bien sur moi le porte étendard. Un cercle autour du drapeau Valeur et Discipline , planté sur le corps d’un prussien ensanglanté, le protéger contre des vagues interminables de prussiens.

Après un combat acharné d’une bonne heure, les Prussiens se replièrent et les survivants de ce corps ce remirent aussitôt autour de leur commandant. Les Prussiens voyant leur armé partirent en déroute ordonna d’achever les grenadiers qui avait perdu la moitié de leurs effectifs. Voyant cette menace arrivé le Lieutenant Aussenac ordonna de formé un carré.

Lorsque la cavalerie arriva sur le carré leur capitaine tira sur notre Lieutenant qui fut touché à la jambe, et 2 secondes après les cavaliers entrèrent en choc dans le carré qui malgré le combat précédemment résista à la charge. Mais le centre du champ de bataille fut maitrisé si bien que le Maréchal Bastien envoya le 7e Hussard en renfort au Grenadiers et moins de 15 minutes plus tard les cavaliers prussiens prirent la fuite. Peu de temps après le reste de l’armé coalisé prirent aussi la fuite.

Au lendemain de la bataille, le Maréchal Bastien félicita tous ces hommes pour leur courage et leur témérité exemplaire. Le Lieutenant Aussenac prirent la parole en disant que les Grenadiers ont simplement fait leur devoir envers l’Empereur et que cela leur suffit puis tous les Grenadiers crièrent : Valeur et Discipline

Caran

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